La femme est le noyau dur de la cellule de base d'une société.C'est pourquoi le degré d'évolution de celle-çi s'apprécie en grande partie par rapport à la situation qu'elle lui réserve.
Cependant, la femme a été pendant trés longtemps tenue à l'écart des décision de la société. Cette situation a prévalue dans tous les domaines que cela soit éducatifs ou proffessionnelles. De nos jours, cela engendre une faible représentation de la gente féminine dans tout ce qui est en rapport avec les prises de décisions. Au SENEGAL par exemple dans tous les postes de décision on remarque la dominance trés forte des hommes. Pour quarantes(40) siéges ministériélles seuls huit (8) sont occupés par la femme et pour cent vingt (120) siéges de députés seuls quatorze (14) sont attribués a des femmes.
Malgré plusieurs efforts allant dans le sens d'intégrer la femme dans tout ce qui se passe dans son pays, la situation reste encore profitable qu'aux hommes. On dirait que la femme ne s'est pas encore familiarisé dans les domaines òu le jargon a été pendant trés longtemps incompréhensible du fait de leur non scolarisation. En effet le manque de femmes qui s'implique dans les décisions du pays peuvent être explique du fait qu'elle était considérée comme inférieur et n'avait pas accés à l.école qui était considérée, jadis, inutile pou elle.
Pour rétablir la situation, certe il faudrait une conscientisation des femmes mais il faudrait aussi qu'il y ait une volonté politique de l'Etat de faire participer les femmes dans toutes ses activités.
En attendant, les organismes de femmes continuent de lutter et éspérent, à défaut de le vivre un jour, faire vivre la génération future dans un monde òu les décisions sont prises par un nombre égal d'hommes et de femmes et non par beaucoup d'hommes et peu de femmes.